Musique du Finistère

Un autre Finistère...

Rock ou pop, les chanteurs et musiciens finistériens ont en commun désinvolture, grain de folie, audace et fantaisie !

Miossec

En 2014, Miossec a fêté ses 20 ans de carrière avec l'album "Ici bas, Ici même" joué pour la première fois sur scène à... Brest, bien sûr !

Concision, simplicité, absolue honnêteté, fragilité désabusée, romantisme farouche, Miossec, un concentré de ce que le Finistère a de plus universel. Avec en plus, quelque chose qui n’appartient qu’à lui.

Qu’il célèbre Brest, « La rade, le port, ce qu’il en reste, le vent dans la rue Jean Jaurès », les femmes, la boisson ou sa mère, qu’il s’allie à un autre Brestois, Yann Tiersen, pour réaliser l’album Finistériens, d’où est extraite Fortune de mer : « Je t’ai perdue, Esther, Et je me suis jeté dans les flots, Et j’ai rejoint la mer, Tout au large de Concarneau » ou qu’il écrive pour Gréco, Birkin ou Bashung... ses mots font jaillir une vérité troublante.


Yann Tiersen

Son album Dust Lane a été conçu sur l’île d’Ouessant, sa base, son port d’attache.

Utiliser l’instinct, créer un autre son, entêtant, enveloppant, à écouter n’importe où, un son enchanteur. L’homme orchestre qui se renouvelle constamment tout en gardant son authenticité y explore toute la gamme des émotions. Il déconstruit, bidouille avec une grande liberté. Un grand vent frais.


Renan Luce

Quatre ans après son précédent album, Renan Luce nous a offert "D'une tonne à un tout petit poids"  et ses morceaux tout en sensibilité.

« Mes racines sont profondes », chante le Morlaisien Renan Luce, « elles ont traversé l'onde et perforé la pierre d'une fin de terre. » Ses chansons sont fraîches et décalées, avec toujours quelque chose de cinématographique.


Nolwenn Leroy

« Bretonne, Finistérienne, je me vois comme un minuscule fragment de roche, un petit caillou arraché à sa côte sauvage, projeté au loin par des vents contraires et violents. » confie Nolwenn Leroy sur son site.

Le choc de Bretonne, un disque pop avec ces instruments traditionnels dont la sonorité donne la chair de poule, en a surpris plus d’un. Un disque en hommage à ses racines dans lequel sa voix (d’une grande pureté) donne à la langue bretonne un côté glamour, sexy et élégant.

Je ne serai jamais ta Parisienne, écrite par Miossec : « Là où les eaux se mêlent, Là où finit la terre, Là où est si grand le ciel, Là où se bat la mer, Là où je deviens celle, Qui pour toi reste un mystère ».

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