Le social et la santé commencent en Finistère

Vivre dans le Finistère, c’est bien. Y vivre de manière sereine, c’est encore mieux.

Ça tombe bien, puisque les Finistériens disposent de bons indices de qualité de vie. Là où certains territoires sont en mal de médecins, pas de ça chez nous ! La densité de médecins est en effet au-dessus de la moyenne régionale, avec 320,70 praticiens pour 100 000 habitants, répartis de Morlaix à Quimper, en passant par Brest, Douarnenez ou Concarneau. Le maillage du territoire est assuré dans les nombreux établissements de santé, dont un CHU à Brest, 6 centres hospitaliers, 4 hôpitaux locaux, ainsi que 58 cliniques et établissements spécialisés. Outre des structures d’accueil performantes, l’accent est mis sur le développement du maintien à domicile des personnes dépendantes (handicapés et personnes âgées).

Symbole de la cohésion sociale finistérienne, le faible écart entre les plus « hauts » et les « plus bas » revenus. Son taux de pauvreté est plus bas que la moyenne nationale (11% contre 13,4%) et 84 % des salariés sont titulaires d’un contrat à durée indéterminée.

Dans le Finistère, la solidarité se décline au plus proche des habitants, grâce aux 7 territoires d’action sociale, dans lesquels interviennent partenaires institutionnels et associatifs. Plus de 800 professionnels (personnels administratifs, professionnels médicaux et médico-sociaux) travaillent sur les 28 lieux d’accueil du Conseil départemental. En 2011, il a consacré 92,10 millions d’euros à l’accompagnement des familles, soit 9,5% du budget du Conseil départemental (970,91 millions d’euros).

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