Nouvelle année, nouveaux portraits... Retrouvez chaque semaine des portraits de collaborateurs de l'agence Finistère 360.
« J'aime les saveurs du Finistère »
Maxime Le Corre, originaire de Concarneau, est arrivée en septembre 2019 à l'Agence Finistère 360°, juste après la réussite de son Master 2 Concertation et Territoires en Transition.
« J'ai été embauchée pour traiter le projet du bien manger en Finistère, qui fait écho aux problématiques liées à la restauration, la gastronomie, l'agriculture, la pêche et l'alimentation en général en Finistère. L'objectif est de fédérer les acteurs finistériens qui gravitent autour de cette thématique très vaste et très riche. En effet, quand on parle du bien manger, on parle d'alimentation, des arts de la table, de nutrition, d'engagement des entreprises, de circuits courts, de bio... La tâche est immense ».
Le goût des bonnes choses
Si le bien manger est au cœur de sa mission, cela fait aussi partie de sa culture. « Le Finistère c'est beaucoup de saveurs, de plats typiques comme le kig ha farz ou le ragoût de mouton sous la motte de Ouessant » apprécie la jeune femme qui enchaîne : « J'adore les gâteaux bretons. J'ai fait plusieurs saisons dans une biscuiterie à Pont-Aven. Le kouign amann au chocolat quand il est mangé un peu chaud avec le beurre et le chocolat qui coulent dans l'assiette, c'est tout simplement magnifique ! ».
Les produits de la mer font aussi partie de ces choses dont elle aurait du mal à se passer : « Mon parrain était pêcheur et, régulièrement, il nous ramenait du bar, des araignées de mer... Alors aujourd'hui, un bon plateau de fruits de mer, je ne suis pas contre. »
Son Finistère
Comment vivre sans cela ? Aujourd'hui, elle ne se l'imagine pas ... « Quand j'étais plus jeune, je me disais que je ne resterais pas en Finistère car il n'y avait, selon moi, pas d'opportunités d'emploi. Et pourtant, me revoilà en Finistère après un passage à Caen sur l'un des campus de Sciences Po Rennes. Je me dis aujourd'hui que j'ai de la chance d'avoir un cadre de vie comme celui-là et une mission aussi passionnante pour un premier emploi », se réjouit-elle.
Cette chance, elle la mesure quand elle va dans l'un des endroits qu'elle affectionne le plus, Pendruc, près de Trévignon, non loin de Concarneau où vivent ses parents. « Quand j'étais petite, le grand-père de ma voisine nous emmenait faire de la méditation sur les rochers en été. J'ai gardé le plaisir de me poser là, de regarder la mer, les oiseaux, d'écouter le clapotis des vagues... Et puis, en hiver, quand il pleut, j'aime les rafales de vent et les vagues qui passent par dessus les rochers ».
« Ce que j'aime dans ce département, c'est qu'il se passe toujours quelque chose, quelque part, à tout moment ».