Plus d'un million de visiteurs
Expositions consacrées aux artistes emblématiques des XXe et XXIe siècles, rencontres, événements culturels d’ampleur internationale… Très vite, le Fonds Hélène et Édouard Leclerc pour la culture, à Landerneau, a trouvé sa place et son public. Landerneau, depuis, est devenue… the place to be !
Miró, Giacometti, Chagall, Picasso, Mattotti...
“Un lieu ouvert et l'accessibilité de l'art pour tous”, tel est le leitmotiv du Fonds Hélène et Édouard Leclerc à Landerneau. Cet état d'esprit trouve sa traduction dans les parti-pris qui sont ceux de l'accrochage, de la pédagogie, du regard porté par le commissaire d'exposition. Installé en 2011, dans l’ancien couvent des Capucins, à l'initiative de Michel-Édouard Leclerc, de ses parents, ainsi que d'un groupe d'adhérents devenus les administrateurs, ce nouvel espace d'art s'est avéré au fil des expositions et des années un écrin qui a accueilli “Joan Miró, l'arlequin artificier”, “Alberto Giacometti”, une exposition inédite de plus de cent cinquante œuvres, “Chagall, de la poésie à la peinture”, “Picasso”, une rétrospective singulière de ses premiers essais jusqu’aux tout derniers tableaux, “Mitchell. Riopelle, un couple dans la démesure”… À travers eux l’histoire de l’art s’écrit. Un coup de cœur également pour l’illustrateur et enchanteur Lorenzo Mattotti. Pour les lumières de Yann Kersalé.
Un succès total
Le rayonnement est international. Plus d’un million de visiteurs se sont précipités aux différents accrochages depuis l’ouverture des portes en 2012. Un succès total. Sous la houlette de la directrice Marie-Pierre Bathany, le Fonds s’inscrit de plus en plus fortement sur le territoire, s’enracine, et tisse des partenariats notamment avec Océanopolis, l’abbaye de Daoulas, le musée de Pont-Aven, le centre d’art Passerelle. Pendant l’été 2019, l'exposition racontait, sur près de mille mètres carrés, ce que pourrait être un cabinet de curiosités du moment présent.
Crédit photo haut de page : © FHEL © Studio Dirou
Crédit photo ci-dessous : © Jacques Monory © ADAGP, Paris, 2017 © FHEL, 2017